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Après la récente publication du gouvernement Tuluka, les réactions se multiplient, témoignant des divergences d’opinions quant à la composition de cette nouvelle équipe ministérielle.

Du côté de la coalition Lamuka, les critiques fusent, estimant que le peuple congolais ne devrait pas placer d’espoir dans ce gouvernement, arguant que “les mêmes personnes produisent les mêmes résultats.”

Dans un contexte de turbulences médiatiques récentes, le Cardinal Ambongo a exprimé son désir de rencontrer le Chef de l’État, une demande à laquelle le Président Tshisekedi a favorablement répondu. Cette rencontre entre les deux figures clés de la République Démocratique du Congo (RDC) visait à éclaircir divers points d’intérêt national.

Sous la direction de Mboso et Bahati, le Parlement voit son image de temple de la démocratie ternie, devenant tristement célèbre pour la corruption et le blanchiment d’argent. Les révélations accablantes sur la gestion budgétaire entre 2021 et 2023, issues de l’enquête du Centre de recherche en finances publiques et développement local (CREFDL), suscitent l’inquiétude.

Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’Union africaine, a fortement condamné les attaques meurtrières perpétrées contre les camps de déplacés au Lac-Vert et à Mugunga, dans l’est de la République démocratique du Congo. Toutefois, dans son communiqué officiel, il a évité de nommer explicitement le M23 et le Rwanda. Ces attaques ont causé la perte de vies humaines et de graves blessures parmi les civils, y compris des femmes et des enfants.

Dans l’est de la RDC, plus précisément au camp de Mugunga à Goma, des civils déplacés ont été la cible de bombardements. Le gouvernement de la RDC réagit vivement en appelant la communauté internationale à prendre des mesures politiques et économiques sévères pour contraindre le Rwanda à mettre fin à ses actions terroristes et meurtrières sur le territoire congolais.

La récente élection de candidats disqualifiés pour fraude électorale lors des législatives en République démocratique du Congo suscite des interrogations.

Le 29 avril 2024, malgré leur invalidation par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) et le rejet de leurs recours par la Cour constitutionnelle, ces candidats ont été provisoirement déclarés élus au Sénat.

Dans une lettre adressée au directeur général de la Direction Générale de Migration (DGM), dont une copie a été obtenue par RDC Today, le Procureur Général près la Cour de Cassation a émis une interdiction de sortie de la ville de Kinshasa à l’encontre du ministre des Finances Nicolas Kazadi, de François Rubota du Développement Rural, et de Guy Mikulu Pombo.

Le gouvernement de la République démocratique du Congo exprime son inquiétude face aux récents propos tenus par l’archevêque de l’église catholique de Kinshasa, Fridolin Ambongo, lors de la célébration de Pâques. Ces déclarations semblent soutenir les Congolais rejoignant les rebelles qui commettent des exactions dans l’est du pays.

Ancien membre éminent du parti politique Ecide de Martin Fayulu, Ados Ndombasi exprime son désaccord vis-à-vis de l’approche adoptée par certains de ses collègues de l’opposition, les accusant de se livrer à des “critiques stériles” et de ne se mobiliser qu’à la veille des élections. C’est dans ce contexte qu’est né le mouvement “Alternative 2028”, qui prône une vision centrée sur les “devoirs avant les droits”.

La Cour constitutionnelle a annoncé son verdict le mardi 12 mars concernant les recours contestant les résultats des élections des députés nationaux du 20 décembre 2023.

Dieudonné Kamuleta Badibanga, président de la Cour constitutionnelle, a informé que seules 49 affaires ont été jugées recevables et fondées parmi les 1123 dossiers enregistrés pour l’ensemble de la République.