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La République démocratique du Congo (RDC), pays le plus peuplé d’Afrique centrale, se prépare pour les élections législatives et présidentielles prévues en décembre 2023. Alors que plus de 24 000 candidats ont été retenus pour les 500 sièges à pourvoir lors des élections législatives, les observateurs s’interrogent sur les motivations profondes de ces aspirants politiques. Est-ce l’appât du gain financier, avec un salaire potentiel estimé à environ 7500 dollars, ou bien un désir sincère de provoquer un changement significatif dans le pays ?

La Cour constitutionnelle de la République démocratique du Congo a rendu ses arrêts le lundi 30 octobre 2023 concernant les contentieux de candidatures pour l’élection présidentielle prévue le 20 décembre.

Lors de l’audience de la Cour constitutionnelle portant sur les contentieux de candidatures à la présidentielle en République Démocratique du Congo (RDC), le ministère public a requis le rejet de la requête de Seth Sikuni visant la candidature de Félix Tshisekedi pour l’élection de 2023. La Cour a pris en délibéré les onze affaires présentées et s’est engagée à rendre son verdict le lundi 30 octobre.

Le 26 octobre 2023, le Président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Tshisekedi, a eu une réunion au Palais de la Nation à Kinshasa avec le chef du mouvement politique français “La France insoumise” (LFI), Jean-Luc Mélenchon. Pendant leur discussion, ils ont principalement abordé la question de la sécurité dans l’Est de la RDC.

La Cour constitutionnelle de la République démocratique du Congo (RDC) a commencé à examiner les différends liés aux candidatures à l’élection présidentielle, marquant ainsi une étape cruciale vers l’assurance d’un processus électoral juste et transparent dans le pays. La tâche de la Cour est de traiter toute contestation ou difficulté juridique pouvant survenir pendant le processus électoral, notamment celles concernant l’éligibilité des candidats ou la validité de leurs candidatures.

Le candidat à la présidence de la République démocratique du Congo, Sethkikuni, a officiellement demandé l’annulation de la candidature du président actuel, Félix Tshisekedi. La base de cette requête repose sur des allégations selon lesquelles l’inscription de Tshisekedi aurait été frauduleuse, invoquant le principe juridique “fraus omnia corrumpit” qui stipule que la fraude corrompt tout.

Une joute verbale a commencé entre le président sortant, Félix Antoine Tshisekedi, et le lauréat du prix Nobel de la paix 2018, qui est également candidat à la présidentielle, marquant ainsi le début de la campagne électorale.

Après la controverse suscitée par le prétendu parrainage de certains candidats à l’élection présidentielle de décembre prochain par des occidentaux, une nouvelle polémique a éclaté, cette fois-ci concernant la notion de genre.

Le paysage politique congolais continue de se redessiner à l’approche des élections présidentielles de décembre. Dans ce contexte, le Sénateur Didier Mumengi a été officiellement nommé Directeur de campagne du candidat président Denis Mukwege, Prix Nobel de la paix, cette annonce a été faite lors d’une rencontre au centre interdiocésain de Kinshasa, où Denis Mukwege échangeait avec les jeunes.

Le Président du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions du Gabon (CTRI), le général Brice Oligui Nguema, a effectué une visite en République démocratique du Congo (RDC) pour rencontrer le Président Félix Tshisekedi. Lors de son arrivée à Kinshasa, il a exprimé l’importance de rencontrer les dirigeants des pays voisins.

Félix Tshisekedi, actuel président de la République démocratique du Congo (RDC), a officialisé sa candidature pour l’élection présidentielle prévue le 20 décembre 2023. Il a déposé son dossier de candidature à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) ce samedi 7 octobre 2023. Cependant, ce qui a attiré l’attention, c’est le fait qu’il se présente en tant que candidat indépendant. Cette décision a été expliquée par Augustin Kabuya et le Professeur Mbata lors d’une déclaration sur TopCongo, soulignant que l’Union Sacrée de la Nation, dont Tshisekedi est membre, n’a pas encore obtenu de personnalité juridique, d’où le choix d’une candidature indépendante. Tshisekedi, candidat à sa propre succession, se lance donc dans une campagne présidentielle où il devra affronter d’autres candidats pour tenter de remporter un nouveau mandat à la tête de la RDC. Le scrutin suscite déjà un grand intérêt et est suivi de près par les citoyens congolais et la communauté internationale.